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« Les études ont montré la faisabilité et la viabilité économique du gazoduc transfrontalier », a souligné la ministre marocaine de la Transition énergétique, Laila Ben Ali.
Le projet de construction du gazoduc Nigeria-Maroc a « fait d’énormes progrès » et connaîtra de nouveaux développements dans les mois à venir. C’est ce qu’a annoncé le ministre marocain de la Transition énergétique. Laila Ben Ali , lors d’un briefing au Parlement. « Des études ont montré la faisabilité et la viabilité économique du gazoduc transfrontalier », a souligné Ben Ali.
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Dans les prochains mois, les phases « clés » du projet commenceront, notamment les études d’impact environnemental et social, la signature des accords intergouvernementaux nécessaires et la création d’une société chargée de coordonner les activités financières, de construction et opérationnelles. Le pipeline de 5 660 kilomètres est promu par l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (Onhym) et la Nigerian National Petroleum Corporation (Nnpc) . Le gazoduc démarrerait au Nigeria et relierait ensuite 13 pays avec des « branches » terrestres temporaires et plusieurs stations de compression. Une fois terminé, le gazoduc sera connecté au gazoduc Maghreb-Europe, qui relie le nord du Maroc à l’Espagne.
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