Il est notoire que le roi du Maroc est homosexuel. C’est un fait connu de ses copains de classe. Ils avaient remarqué sa féminité depuis sa plus tendre enfance. Sa tendance à poser pour les magazines people a été remarquée et commentée par les médias. Il va de même avec son style vestimentaire caractérisée par les couleurs et l’extravagance. Son orientations sexuelle est un secret de polichinelle. En Belgique et aux Pays Bas, ses visites aux bistros gay ont fait la une de la presse locale.
En Europe, ce détail peut passer inaperçu, la mentalité des citoyens européens ne s’arrête pas sur les modalités de la vie sexuelle des personnes quel que soi leur rang. Cependant, dans un pays musulman tel que le Maroc où est le roi porte le titre de «Commandeur des Croyants», il est inacceptable. D’ailleurs, l’homosexualité est sévèrement condamnée par la loi et les sentences prononcées son prononcées au nom du roi.
Aux yeux d’une grande majorité de citoyens, l’homosexualité du souverain marocain est un cas de perversité et ils considèrent que c’est la raison pour laquelle il a converti son pays en un grand prostibule à ciel ouvert depuis que le Maroc est devenu la première destination des touristes sexuels, pervers et pédophiles. Dans le règne de Mohammed VI, les filles et femmes du royaume chérifien conçoivent la prostitution comme un tremplin pour changer de qualité de vie et subvenir aux besoin de sa famille. Elles sont devenues la première raison des séjours des riches hommes des Emirats et d’Arabie Saoudite. Ces derniers apprécient le pays de Mohammed VI parce qu’ils y trouvent une pratique inexistante chez eux : la sodomie.
Le jour où Lalla Salma a retrouve le roi du Maroc, elle était convaincue que le destin était à ses côtés. Elle était loin de penser que ce qu’elle considérait comme conte de fées allait devenir un cauchemar. Elle n’avait rien à cirer de l’écart d’âge qui les séparait tellement elle croyait à cette relation. Dans son esprit, elle avait épousé un jeune roi qui allait sortir son pays d’un passé sombre vers un avenir rayonnant, des années de plomb aux années lumières… Elle était loin de douter qu’elle épousait un homme qui n’avait aucune attirance pour les femmes.
En tant que femme intègre et sans préjugés, elle ne s’est pas posée des questions sur les raisons de son mariage si tardif, son incapacité à parler en publique et à affronter la presse, son manque de charisme. Elle a été bernée par ceux qui l’ont poussée dans ses bras. Elle était loin de savoir que son futur époux était connu pour ses sauts d’humeur que la presse marocaine appelle « colère royale ».
Elle a cru en lui. qu’il allait faire du Maroc un modèle de démocratie et de pays émergent. Avec le temps, elle découvre qu’elle a été utilisée pour projeter une image extérieure d’une monarchie despotique et donner un successeur à un roi homosexuel qui n’est attiré que par les hommes. Un roi qui préfère se passer de sa compagnie dans ses voyages pour trouver la liberté de s’adonner à ses pratiques peu orthodoxes pour un roi qui prétend représenter l’Islam et président du Comité Al Qods.
Aujourd’hui, elle a pu constater que ses visions n’étaient que des rêves. Pire encore, elle a été reléguée au même statut que les concubines des anciens rois du Maroc. Elle est interdite de sortir. Surveillée jour et nuit. Mohammed VI l’a enfermée pour éviter qu’elle ne divulgue les secrets de son homosexualité, son despotisme et son caractère colérique.
Acculé par l’histoire de Lalla Salma, le palais royal multiplie les dëpêches mensongères sus des apparitions qui n’existent que dans l’imagination de celui qui manipule chacun de ses pas royaux.
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