Les français ne crachent pas dans la soupe dont ils mangent

Eric Zemmour l’avait bien dit : « On a l’impression que le roi du Maroc, pour ne pas le nommer, «achète» toute la classe politique et médiatique française ». Normal, tous leurs « besoins » sont satisfaits au Maroc. A cause de la prédation économique dans son pays, rares sont les jeunes marocains qui n’ont pas été à la plage pour gagner quelques sous en s’adonnant à des relations sexuelles avec des touristes des deux sexes. Des touristes dont on sait que la grande majorité sont des français.
A cela s’ajoute la corruption dont les autorités marocaines sont devenues un maître indiscutable en la matière.
Les documents publiés par le hacker Chris Coleman n’ont laissé aucun doute sur l’efficacité de la méthode marocaine. Des journalistes français ont été approchées par les services d’espionnage marocain, la DGED. Ils sont couverts par la collaboration avec un journal, l’Observateur du Maroc, dont le directeur est un officier de la DGED spécialisé dans le lobbying dans la question du Sahara Occidental. Mais leur mission va au-delà de la simple tâche d’informer le public français et francophone. Ils se sont érigés en défenseurs de la monarchie marocaine. Vincent Hervouet, de LCI, est devenu un véritable radar qui alerte sur tout ce qui est écrit contre le régime du Maroc et, à l’instar des marocains, il semble vouer une haine viscérale aux sahraouis, au point de devenir un voyou vulgaire. Mon œil !, dit-il aux protestations sahraouies contre ses mensonges sur une prétendue relations entre le Front Polisario et le terrorisme. Après cela, il a demandé qu’on lui fasse une réservation pour lui et sa famille dans un luxueux hôtel de Marrakech, la capitale de la prostitution et de la pédophilie.
Les journalistes de l’AFP ne sont pas une exception. Ceux qui ne « sympathisent » pas avec le régime, comme Omar Brousky, sont refusés et ensuite congédiés. Pour continuer à manger de la « soupe » marocaine, ils doivent mesurer leurs mots.
Lorsqu’enfin, l’AFP a été obligée de parler des documents révélés, elle n’a pas oublié d’aller dans la ligne droite de ses confrères français : semer le doute sur l’authenticité de ces documents dont les faits ont été pourtant prouvés, et en dépit de la reconnaissance par l’Etat marocain de l’existence de fuites d’information confidentielle.
Nous espérons que dans les 6 gigabytes de documents qu’il garde encore, se trouvent des informations capables de dénudes toutes les sales pratiques des journalistes et des élites français dans le royaume de la perversion de Mohammed VI.

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